Avec la percée spectaculaire de ChatGPT, l’utilisation de l’Intelligence Artificielle interroge la communauté des chercheurs et des régulateurs. Dans ce contexte agité, la nouvelle étude WPP Research Consulting révèle la perception des Français sur l’IA et ce que cela implique pour les marques.
Si 85% des Français ont entendu parler de l’IA, 55% en ont toutefois une idée imprécise. En outre, ils sont également parfaitement conscients de la présence de l’IA dans des domaines tels que la reconnaissance vocale (80%) et faciale (78%). Les 3⁄4 des Français déclarent l’utiliser dans leur vie quotidienne, notamment pour la traduction automatique (52%) et la recommandation de produits (50%). Pourtant, 39% d’entre-eux avouent ne pas en avoir eu conscience auparavant.
L’IA bénéficie d’une popularité certaine puisque 3 Français sur 4 lui accordent au moins un avantage : par exemple, elle offre un meilleur accès à l’information (54%), améliore la sécurité (53%) ou encore le quotidien (52%).
Cependant, la perception de l’IA reste mitigée : une courte majorité de 54% pense que c’est une bonne chose. Les Français sont également très inquiets : 83% d’entre eux ont peur des dérives, et près de 9 Français sur 10 identifient au moins un risque. Ils citent le piratage (73%), la manipulation de l’information (71%), l’atteinte à la vie privée (68%) ou encore la dépendance à l’IA (68%).
Malgré leurs craintes, les Français font preuve de résilience puisque 2/3 d’entre eux pensent qu’il faut apprendre à vivre avec l’IA : 66% s’accordent à dire qu’elle est même la nouvelle révolution industrielle.
Méthodologie : Terrain en ligne avec un questionnaire auto-administré sur le panel propriétaire GroupM, 1090 répondants âgés de 18 à 70 ans, du 28 au 31 mars 2023.
Today, Spotify announced our first quarter 2023 financial performance, showing outperformance across nearly all key performance metrics. Take a look at the highlights below:
We had our strongest Q1 since going public in 2018, with nearly all our KPIs surpassing expectations:
Monthly Active Users grew by 22% year-over-year to 515 million driven by strength in both developed and developing markets, and nearly all age groups.
Premium Subscribers grew 15% year-over-year to 210 million with outperformance across all regions, led by Europe and Latin America.
Total Revenue grew 14% year-over-year to €3.0 billion, led by Subscriber gains.
Gross Margin finished at 25.2%, reflecting improved music and podcast profitability.
Operating (Loss)/Income finished at €(156) million, aided by lower marketing spend.
Canal+, en collaboration avec BETC Paris et l’ONG Puissance Dys, a développé une première mondiale : “Dystitles”, les tout premiers sous-titres à la fois parfaitement lisibles par les dyslexiques et les non-dyslexiques, grâce à une nouvelle police de caractères, créée de toute pièce, pour faciliter la compréhension des programmes par les premiers…
Les analystes tablaient en effet sur un nombre total de 501,54 millions d’utilisateurs actifs. De récentes campagnes de publicité expliquent ce succès, affirme Spotify. Mais le groupe a considérablement creusé sa perte opérationnelle de janvier à mars, accusant une perte de 156 millions d’euros liée notamment à des coûts de restructurations et des charges sociales, contre une perte de 6 millions d’euros au premier trimestre 2022. Le chiffre d’affaires du fleuron suédois, porté par la hausse du nombre d’abonnés, a quant à lui bondi de 14% au premier trimestre de cette année, à 3 milliards d’euros, en deçà néanmoins des attentes des analystes qui tablaient sur 3,4 milliards. Le nombre d’abonnés payants a augmenté de 15% sur la période, à 210 millions, soit mieux que les 207 millions attendus par les analystes, tiré selon le groupe par une bonne croissance dans toutes les régions et notamment en Amérique latine.
“Nous avons connu notre meilleur premier trimestre depuis notre introduction en Bourse en 2018, la quasi-totalité de nos indicateurs de performance dépassant (nos) attentes”, s’est félicité Spotify. La plateforme, basée à Stockholm mais cotée à New York, a été ponctuellement rentable certains trimestres. Mais elle accuse régulièrement des pertes, malgré une croissance fulgurante du nombre de ses abonnés et une avance sur ses concurrents, comme Apple Music ou Amazon Music. Leader historique du streaming musical légal, Spotify a investi plus d’un milliard d’euros dans le podcast ces dernières années, devenant là aussi numéro un mondial. Mais la rentabilité reste encore à démontrer, selon les analystes, de plus en plus dubitatifs. Le développement du podcast a également été source de controverses, notamment avec la star américaine Joe Rogan, accusé de répandre de la désinformation dans ses émissions. Le groupe, déjà régulièrement critiqué par des artistes célèbres ou non pour le paiement jugé insuffisant de chaque “stream”, avait été contraint de prendre des mesures pour calmer la polémique.
PAR L’AFP
LE NUMÉRO UN MONDIAL DES PLATEFORMES AUDIO SPOTIFY A ATTEINT UN NOUVEAU SOMMET DE 515 MILLIONS D’UTILISATEURS ACTIFS À LA FIN DU PREMIER TRIMESTRE, EN HAUSSE DE 22% SUR UN AN, BIEN AU-DELÀ DES ATTENTES, A ANNONCÉ LE GROUPE SUÉDOIS MARDI.
Les analystes tablaient en effet sur un nombre total de 501,54 millions d’utilisateurs actifs. De récentes campagnes de publicité expliquent ce succès, affirme Spotify. Mais le groupe a considérablement creusé sa perte opérationnelle de janvier à mars, accusant une perte de 156 millions d’euros liée notamment à des coûts de restructurations et des charges sociales, contre une perte de 6 millions d’euros au premier trimestre 2022. Le chiffre d’affaires du fleuron suédois, porté par la hausse du nombre d’abonnés, a quant à lui bondi de 14% au premier trimestre de cette année, à 3 milliards d’euros, en deçà néanmoins des attentes des analystes qui tablaient sur 3,4 milliards. Le nombre d’abonnés payants a augmenté de 15% sur la période, à 210 millions, soit mieux que les 207 millions attendus par les analystes, tiré selon le groupe par une bonne croissance dans toutes les régions et notamment en Amérique latine.
“Nous avons connu notre meilleur premier trimestre depuis notre introduction en Bourse en 2018, la quasi-totalité de nos indicateurs de performance dépassant (nos) attentes”, s’est félicité Spotify. La plateforme, basée à Stockholm mais cotée à New York, a été ponctuellement rentable certains trimestres. Mais elle accuse régulièrement des pertes, malgré une croissance fulgurante du nombre de ses abonnés et une avance sur ses concurrents, comme Apple Music ou Amazon Music. Leader historique du streaming musical légal, Spotify a investi plus d’un milliard d’euros dans le podcast ces dernières années, devenant là aussi numéro un mondial. Mais la rentabilité reste encore à démontrer, selon les analystes, de plus en plus dubitatifs. Le développement du podcast a également été source de controverses, notamment avec la star américaine Joe Rogan, accusé de répandre de la désinformation dans ses émissions. Le groupe, déjà régulièrement critiqué par des artistes célèbres ou non pour le paiement jugé insuffisant de chaque “stream”, avait été contraint de prendre des mesures pour calmer la polémique.
When new technology is introduced, it is perceived as groundbreaking before users learn to use it. The analytics company Gartner has formalized this sequence of events in its famous hype cycle.
The model from Gartner’s hype cycle can also be used to formalize the fears society experiences when new technology is introduced, and how its risks are amplified and reinforced in public debate. In some cases, it can reach a technology panic.
In a technology panic, the technology is often described in an imagined future, completed form, and not in the initial versions available to the inventor, technicians, and early adopters.
There is an “industry of fear” today where various activist groups, politicians, and companies looking to sell their services, foundations, think tanks, opinion makers, officials, and even journalists and researchers fill different niches to drive alarm.
The reasons for pushing the alarm may vary, but often their strong priorities do not match those of the rest of society. They drive, for better or worse, the initial panic when few are even aware of the technology’s existence.
Maximum panic curve
The panic curve reaches a maximum of hype, where there is no limit to the potential impact of the new technology. Strikingly often, the measures advocated at the peak of the panic curve are about general regulations of Big Tech rather than solving problems in specific situations.
At this stage, the alarm is gladly incorporated as part of more comprehensive narratives about how the fabric of society unravels. It drives the debate when otherwise a lack of public knowledge about technology can cause the momentum to fade. Youth become lazy, people’s relationships fall apart, consumerism is rampant, and internal and external enemies seize power through the technology.
Over time, the warnings turn out to be exaggerated, not least because the technology was so new that most people were merely speculating about its capabilities. As the technology gets closer to users, it turns out not to be so dangerous, and soon everyone is using it. Users, manufacturers, and legislators address misuse, not the technology itself.
Initiating bans
Alarms and warnings can provoke early bans and restrictions, often on insufficient grounds.
Technology panics have a cumulative effect, especially if politicians want to put the cart before the horse with broad regulations. It is easy to become a little more scared each time a technology panic occurs, particularly if one does not perceive the debate’s resolution at the end of the curve.
Users’ perceptions can become so negative that the technology is stopped, as when users were shamed away from using Google’s augmented reality glasses, Google Glass, or the technology is not used to its full potential even if it was not so dangerous.
Waldemar Ingdahl at a TEDx event. Photo: Henrik Ahlin.
Today, technology is rarely built for users to adapt or repair it themselves. Manufacturers often consider it better if the technology is closed. However, closed technology does not give a sense of control, making it difficult for users to assess how reliable the manufacturers can be, which in turn makes it harder to appreciate the value of the technology.
It is in tangible, individual intrusions that privacy advocates and legislators can make a difference. Social norms often prevent uses that are possible but unwanted. Regulations should give individual users control over their data.
Real privacy and control are a consequence of personal responsibility, and we should be suspicious of those who claim that ordinary users cannot be entrusted with that responsibility.
Sporthouse Group has created three online films for Flanders Classics to promote the cycling classics Omloop Het Nieuwsblad, Gent-Wevelgem and De Ronde van Vlaanderen.
The films were directed by Kenneth Staelens, the copy was created by Dennis Vandewalle (Kiss The Badge) and the voice-over was provided by international cycling commentator Rob Hedge.
UN porte-avions, le Clemenceau, un sous-marin classique, la Praya, un forfait de cinq jours signé par une agence de publicité et l’armée, l’armée française – après le coup de fil décisif d’un président de la République qui se souvenait de la ” campagne ” menée pour lui par cette agence, – décidément la publicité se permet tout.
Déjà entrée dans les familles, dans les écoles, à l’église, elle n’avait pas encore investi l’armée, ni les couloirs du pouvoir. En attendant de louer pour un temps, le temps d’un film publicitaire, la salle du conseil des ministres et peut-être les ministres eux-mêmes, en guise de figurants – le premier qui osera cela entrera dans l’histoire, – les troupes de l’agence RSCG (Roux, etc.) ont requis la Royale. Rien de moins.
Il y a peu, le porte-avions Clemenceau, et son équipage au complet, devait quitter Toulon, son port d’attache, pour partir en exercice au large de la Côte d’Azur. Dans le même temps, Yves Lucas, rédacteur-concepteur, et Richard Raynal, directeur de création de RSCG, imaginaient à leur table de travail un film encore plus ambitieux que ” les chevrons sauvages ” – déjà réalisé par Richard Raynal – pour le lancement de la Citroën Visa GTI.
Dans le hangar d’un porte-avions, la petite véloce donnerait dans la frime au milieu d’un groupe de pilotes s’apprêtant à rejoindre leurs appareils. Discussion de son conducteur avec les pilotes : ” Je te parie que ma Visa décollera plus vite que ton Super-Étendard… ” Pari stupide, pari tenu. Un ascenseur élève le groupe et la voiture jusqu’à la piste d’envol. Les moteurs chauffent. Un Super-Étendard est amené au centre de la piste et arrimé à la catapulte. Plein gaz, il décolle. Aussitôt, la Visa est arrimée à son tour. Et décolle, à plus de 230 kilomètres à l’heure. En un instant, la voiture rejoint l’avion, signes de victoire du conducteur, puis, inéluctablement, tombe à l’eau. Les pilotes sur le pont rigolent doucement.
Quelques instants plus tard, la Visa réapparaît des profondeurs marines négligemment posée sur un sous-marin qui remonte à la surface. Moralité : ” Elle décoiffe et moi j’arrache avec elle ” (Julien Clerc) et ” Visa GTI, la GTI sauvage ” (Citroën).