Foursquare, l’histoire de la chute d’un précurseur de la géolocalisation (en 3 étapes) | FrenchWeb.fr

Foursquare, l’histoire de la chute d’un précurseur de la géolocalisation (en 3 étapes) | FrenchWeb.fr.

 Lancé en 2009, le site Foursquare, qui permettait à ses débuts de situer ses activités et lieux favoris, fait, six ans plus tard, pâle figure face aux nouveaux services de géolocalisation. Au premier trimestre 2014, la société fondée à New York générait encore difficilement 21 millions de dollars, quand Yelp, – son nouveau grand concurrent depuis le repositionnement de Foursquare sur la recommandation de lieux, affichait une santé insolente, à 73,5 millions. Cela ressemble a un grand gâchis, alors qu’en 2018, le marché de la géolocalisation représentera aux Etats-Unis 2,3 milliards d’euros, selon le cabinet Berg Insight.

Comment expliquer cette déconvenue ? «(Foursquare) sera peut-être le prochain Twitter », claironnait en 2009 Mashable qui s’attendait comme les autres à voir une nouvelle success story à l’américaine. Le site dirigé par Dennis Crowley était en effet précurseur : pour la première fois, la géolocalisation était couplée aux services de partage d’un réseau social. Même un astrononaute avait fait son « checking » depuis la station spatiale.

1. Le temps passé sur le gaming

A l’époque, on compare le site, très orienté vers le gaming, au jeu sur iPhone Gowalla (qui a fermé en 2012), et à Google Latitude (supprimé également en 2013 au profit de Google+). Le site disponible sur Playfoursquare.com ne peut d’ailleurs pas encore se payer le nom de domaine foursquare.com.

Seulement voilà, Foursquare a tardé à clarifier son modèle économique. Entre l’annuaire interactif et la gamification, le site qui revendique aujourd’hui pourtant 55 millions de membres à travers le monde, et 6 milliards de check-ins, hésite longtemps. Ses errements sur le positionnement s’en font ressentir jusque dans sa communication externe.

Capture d’écran 2015-02-20 à 15.03.32Il a toujours été difficile de dire si Foursquare était plus pour les entreprises et les commerces ou si l’usage était pour le grand public », explique à Frenchweb Emilie Ogez*, consultante en médias sociaux et community management, qui, comme beaucoup, voit pourtant en 2009 le grand potentiel de Foursquare. « Il m’arrive de proposer ce service aux entreprises mais beaucoup répondent qu’elles ne connaissent pas. Je me rappelle d’un client chez Flunch. A l’époque, si vous étiez maire de Flunch, vous aviez un café offert. Une personne devient maire, se présente à la caisse, et la caissière est restée incrédule », raconte-t-elle. 

2. Une communication pas carrée

L’erreur de Foursquare est d’abord sur sa communication. « Il aurait du mettre en place un vrai accompagnement pour expliquer aux entreprises, comme l’ont très bien fait Twitter ou Facebook », poursuit Emilie Ogez.

Malgré les levées de fonds qui s’enchaînent, et une proposition de rachat à 140 millions de dollars (sans doute de Facebook) que Dennis Crowley refuse, les errements stratégiques de Foursquare vont laisser champ libre aux opportunistes de la géolocalisation. Il y a d’abord les opposants historiques à devancer : Yelp, TellMeWhere, Aka-Aki en Allemagne (clos en 2012). En France, ce sont DisMoiOù, JustAroundUs (JAU), et Plyce (dans lequel l’investisseur Marc Simoncini voit « un Foursquare européen ») qui attaquent le segment. Ce dernier s’est d’ailleurs aussi repositionner en 2011 pour proposer des réductions géolocalisées et monétiser son audience.

3. L’application dégringole dans les store

Mais il y a aussi et surtout les géants du Web qui ont, eux, accolé la géolocalisation à leurs services d’origine. Plus claire, et peut-être plus rassurante, à l’heure où l’accumulation des données géographiques commence à effrayer les utilisateurs. Facebook annonce donner la possibilité en septembre 2010 à ses utilisateurs de géolocaliser leurs partages. Ils peuvent aussi indiquer l’endroit où il se trouve. Et puis Instagram, et Pinterest sautent sur l’occasion, le second avec ses « épingles géolocalisées ».

Surtout, la géolocalisation devient de plus en plus pratique. TripAdvisor et sa start-up LaFourchette indiquent les réductions dans les restaurants à proximité, et rien d’autre. Les Tinder et Happn localisent les célibataires à proximité. Et les Uber et autres VTC organisent peu à peu le partage de voitures entre particuliers. Ainsi, la promesse du carré s’affaiblit au fil des ans. Dans l’apple store américain, l’application dégringole de 44e place en 2011 à la 923e place en octobre 2014.

Obligée de réagir, la société scinde ses activités -imitant Facebook avec sa messagerie- et dégaine en juillet 2014 « Swarm », l’application mobile pour retrouver ses amis autour de soi et pour comparer ses performances entre « celui qui va le plus au cinéma, au bar, ou au musée ». La même année, c’est aussi l’hémorragie ; elle voit les départs simultanés et volontaires du porte-parole, du directeur des opérations, du directeur commercial et du directeur technique. Les cofondateurs font tout pour remotiver les 170 employés à New York, San Francisco et Londres. Ils « teasent » en interne sur « un sprint » pour relancer « Batman » (Foursquare) » et lancer « Robin » (Swarm).

Pendant les quelques mois suivants la sortie de « l’essaim » (swarm), l’entreprise encore adulée par les médias américains vit une sorte d’état de grâce. La nouvelle application Foursquare enregistre 40 millions de « goûts » enregistrés. Et 200 000 personnes choisissent la personnalisation de leur interface. De son côté Swarm croît de 198% de juillet à août 2014, à 2,1 millions d’utilisateurs mobiles.


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Foursquare change de modèle et se divise en deux applications distinctes : Swarm et Foursquare | FrenchWeb.fr

Foursquare change de modèle et se divise en deux applications distinctes : Swarm et Foursquare | FrenchWeb.fr.

Fourquare va devenir une application de recommandation de lieux, Swarm une messagerie instantanée basée sur la localisation

Dennis Crowley, le fondateur de Foursquare, a annoncé à The Verge que son réseau social allait se diviser en deux applications distinctes. La première, Swarm, sera dédiée aux activités de check’in qui permettent aux utilisateurs de faire connaître leur géolocalisation à leur entourage. Elle s’apparentera à une application de messagerie instantanée avec des outils de géolocalisation en plus. La seconde, Fourquare – qui conserve son nom – se focalisera sur les activités de découverte basées sur la localisation : un « Yelp-Killer » en sorte, sans possibilité de check’in.

Il évoque une plus grande clarté pour les utilisateurs à l’heure où la société a besoin de s’adapter aux nouveau modes de consommation. « Au moment où les usages sur mobile s’élargissent et évoluent, vous disposez d’expériences individuelles. Vous ouvrez une application pour effectuer une tâche spécifique et non un ensemble large de tâches complexes ». « À la maison, vous pouvez être à la recherche d’un endroit pour dîner. Après le dîner, vous êtes probablement à la recherche de vos amis à proximité. C’est pourquoi aujourd’hui, nous annonçons que nous scindons ces deux expériences en deux applications distinctes » ajoute la société.

L’entrepreneur précise que lors de la création de société il y a cinq ans, il avait besoin d’obtenir des données. Choses dont il dispose suffisamment aujourd’hui pour se passer du fameux « check-in ». « Le projet n’a jamais été de construire un bouton check-in » explique-t-il. Plus précisément, il souhaite se focaliser sur la recommandation de lieux. Déjà en octobre dernier, Foursquare avait fait un pas en avant en ouvrant sa plateforme publicitaire aux petites entreprises leur laissant ainsi la possibilité d’émettre une notification aux membres du réseau social lorsqu’ils se trouvent à proximité de leur boutique.

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Les smartphones prêts à suggérer les plats qui vous plairont

Les smartphones prêts à suggérer les plats qui vous plairont.

Un individu prend une photo de son plat dans un restaurant parisien. Cette pratique s'appelle le «Foodporn».
Un individu prend une photo de son plat dans un restaurant parisien. Cette pratique s’appelle le «Foodporn». Crédits photo : ANA AREVALO/AFP

Des applications de restauration récoltent maintenant assez de données sur les consommateurs pour orienter leurs choix en temps réel.

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Les smartphones remplaceront-ils les bons conseils d’un serveur dans un restaurant? C’est le nouvel objectif de l’application de géolocalisation Foursquare. La start-up américaine a déjà mis en place un système de recommandation des restaurants bien notés et proches de l’utilisateur depuis octobre. Il suffit d’avoir activé sa géolocalisation et le téléphone envoie automatiquement des notifications indiquant des restaurants populaires et des plats dont les internautes parlent le plus. Foursquare souhaite aller plus loin et affiner ses suggestions en fonction des goûts précis des utilisateurs.

Pour réaliser cette prouesse, l’entreprise analyser plus finement des données dont elle dispose déjà. Quand un utilisateur se connecte régulièrement sur Foursquare, les serveurs de l’application récupèrent de nombreuses informations comme les restaurants les plus visités, les plats consommés et préférés et les lieux de sortie habituels. «On a tellement de signaux qui entrent et sortent dans notre base de données. On peut utiliser tout ça pour personnaliser notre système de recommandation», explique Dennis Crowley, le fondateur de Foursquareinterviewé par le site Readwrite. À terme, Foursquare veut être capable de nous envoyer, dès qu’on rentre dans un restaurant, une notification sur le plat que l’on devrait prendre, un peu à la manière d’Amazon et de ses suggestions d’articles.

Un algorithme puissant qui scrute nos habitudes

Foursquare n’est pas le seul à travailler sur cette idée. En France, le site de réservation en ligne de restaurants La Fourchette compte également s’y mettre. «On connaît toutes les réservations passées chez nous et on sait en temps réel ce que fait le client sur notre site», explique Amélie Naudin, directrice relation clients. «On essaye de personnaliser encore notre algorithme aux données de profil de nos clients», précise Amélie Naudin. L’ambition est d’arriver à suggérer les restaurants selon les plats qu’aiment les utilisateurs. «On pense à proposer aussi une recherche par plat en fonction des retours clients.» Cette suggestion poussée sera proposée sur le site et dans la version mobile.

D’autres entreprises ont l’intention de recommander un plat directement sur les tables des restaurants. La start-up israélienne MultiDine a développé un concept de tables tactiles, sur lesquelles on passe commande et qui récoltent des données sur les consommateurs. «Nous apprenons vos goûts», explique-t-elle sur son site. En France, le restaurant Touch’In Parisutilise des tables interactives. «On développe un système de recommandation pour nos clients», déclare Jérémy Vuillaume, gérant du restaurant. Les tables seront capables de proposer les cocktails les mieux notés sans aller jusqu’à connaître les préférences de la clientèle.

Les clients capables de décider par eux-mêmes

Les recommandations ont leurs limites. Elles ne tombent pas toujours juste et peuvent être envahissantes. Le possesseur de smartphone n’a pas forcément envie de recevoir plusieurs notifications pendant son repas pour lui conseiller le meilleur plat à prendre. AlloResto, le numéro 1 de la livraison à domicile, ne compte pas proposer la suggestion des plats. «En terme de technologie, c’est fantastique, mais d’un point de vue humain ça devient un peu effrayant […] On va penser à ma place, on ira plus jamais vers la découverte et on sortira plus des sentiers battus», déclare Sébastien Forest, PDG de l’entreprise. «Après, libre au client de ne pas suivre les suggestions», tempère cependant Amélie Naudin de La Fourchette.

AlloResto se rapproche pourtant de Foursquare sur certains points. Il va implémenter la fonction de géolocalisation sur une nouvelle version mobile. L’entreprise française la proposera dans les semaines à venir. «On vous suggèrera les meilleurs restaurants en fonction des préférences de vos amis et de votre position actuelle», annonce Sébastien Forest. Un moyen de rendre son application encore plus attractive. «Quand on sait que plus de 25% de notre chiffre d’affaires se fait sur le mobile maintenant, ça démontre qu’il faut être positionné dessus», explique Sébastien Forest.

Location-Based Marketing (LBM) by Havas Media with Foursquare, Google, JCDecaux and the LBMA

Havas Media’ trend profile on Location-based Marketing:
– – View slideshare report: http://www.slideshare.net/havas-media…
– – View Whitepaper: http://www.havasmedia.com/our-thought…

Creating meaningful connections through Location-based Marketing. How can we reach consumers at the right time and place with the right message and experiences? This video features Havas Media, along with companies like Foursquare, Google, JCDecaux and the Location Based Marketing Association, all of whom are pioneering the development and application of location-based experiences for brands and consumers.

LBM Video featuring:
Rori DuBoff, Global Head of Strategy, Havas Media
Steven Rosenblatt, CRO Chief Revenue Officer, Foursquare
Tim Reis, Head of Mobile & Social Solutions, Google
Asif R. Khan, Founder and President, Location Based Marketing Association (LBMA)
Jean-Luc Decaux, Co-CEO, JCDecaux NA

Directed and edited by:
David O’Neill and Trevor Cox

About the Havas Trends Video Series:
In partnership with top innovative companies and industry specialists, the Havas Media video series explores burgeoning global media trends that show how marketers are connecting with consumers in new and more meaningful ways. Trend areas include progressive screens, social shopping, location-based marketing, cashless commerce, content co-creation/curation, augmented learning, big data and predictive analytics, smarter search and life tracking. Videos are launched regularly throughout the year, as they are most relevant to marketers.

Foursquare Data Viz Shows The Pulse Of New York, London, Tokyo | Co.Design | business + design

Foursquare Data Viz Shows The Pulse Of New York, London, Tokyo | Co.Design | business + design.

The secret sauce of Foursquare is the massive amount of location data it collects: 4.5 billion check-ins shared by its 40 million users. For non-MIT graduates, however, it’s often hard to grasp why such data–or any Big Data, for that matter–is even valuable, especially given the unwieldy cache of information Foursquare has gathered. But a new set of data-viz videos produced by the startup turns its data from an intangible mess to a fascinating visual feast. 

Released today, the data visualizations show the pulse of the most popular cities on Foursquare. According to a company spokesperson, the company “took a year of check-ins and condensed them to show what each city looks like on an average day.” The company has done similar things before, but it’s fun to see this sort of eye candy captured in cities ranging from Chicago to London and Tokyo. It gives a better sense of why Foursquare’s trove of data is such a treasure: It not only indicates where people are but, more significantly, how, when, and why they’re going there.

CHICAGO:

Color-coded signals show at what times of day and by what means users travel to various locations. In New York, for example, you can see yellow streaks of light zoom into Manhattan as users commute to work, and then slip away as they head home; at night, the city lights up in blue as more users head to nightlife spots.

NEW YORK:

It’s certainly sexy–the color streaks resemble what I imagine an eagle-eye, time-lapsed view of the world of Tron would look like–but it’s also informative, giving a strong overview of what makes cities tick during the day. “The cities light up a little differently: You can see constant travel between airports in Chicago and ferries crossing the Bosphorus in Istanbul,” the Foursquare spokesperson says. “In San Francisco, we zoomed in, so you can actually see individual streets light up throughout the day.”

Foursquare choisit Turn pour commercialiser ses données

Comme Facebook et Twitter dans leur temps, c’est désormais le moment pour Foursquare de développer ses sources de revenus. La jeune pousse vient de s’associer à Turn pour commercialiser les donnée de géolocalisation de ses utilisateurs afin d’être en mesure de les recibler sur d’autres sites web selon nos confrères de Adage. L’information est assez sensible pour que ni Turn, ni Foursquare n’ont souhaiter commenter cette information. Le partenariat devrait permettre aux annonceurs qui utilisent le DMP et le DSP de Turn d’être en mesure d’identifier certains utilisateurs de Foursquare. Lorsque les annonceurs auront bien spécifié leur audience cible, il sera alors possible de leur diffuser des publicité vidéo ou des bannières sur n’importe quel type de terminal, qu’il s’agisse du desktop, des smartphones ou des tablettes. Turn étant relié à l’ad exchange de Facebook, il sera aussi possible de recibler un utilisateurs de Foursquare sur Facebook. En matière de données, Foursquare permet aux annonceur de cibler leur publicité en fonction des lieux et boutiques qu’ils ont visités. Cela veut dire que les consommateurs sont déjà interessé par la marque ou le type de produits qui y sont proposés. Plus de 3.5 millards de check-ins ont déjà été enregistrés par Foursquare dans le monde. Plus de 40 000 développeurs utilisent l’API de géolocalisation de Foursquare dont par exemple les services comme Evernote, Instagram et Uber (réservation de taxis). Travailler avec Turn permet à Foursquare de bénéficier d’un réseaux important : plus de 16 SSP sont connecté pour le display, 4 pour le mobile et 6 pour la vidéo. Quel prix pour la data ? Reste maintenant à savoir à quel prix sera commercialisé la donnée de Foursquare. Le prix de marché outre atlantique est compris entre 0.50$ et 1.50$ du CPM. Selon l’entreprise Onavo Insights l’application de Foursquare est présente dans moins d’un iPhone sur cinq aux Etats-Unis.
See more at: http://www.ad-exchange.fr/foursquare-mise-sur-turn-pour-commercialiser-les-donnees-geolocalisees-des-check-ins-5697/#sthash.2tWjspEK.dpuf

15 stations Vélib’ habillées aux noms d’accrocs

15 stations Vélib’ habillées aux noms d’accrocs.

15 stations Vélib' habillées aux noms d'accrocs

AP

La Mairie de Paris et JCDecaux célèbrent le 6e anniversaire de Vélib’ par l’organisation d’une opération inédite dans les rues parisiennes. Quinze stations Vélib’, parmi les plus fréquentées de la capitale, prennent les noms de leurs usagers les plus réguliers.

Vélib’ souhaite remercier sa communauté de « Foursquare ». Depuis deux ans, Vélib’ est présent sur ce réseau social qui permet à ses usagers de se géolocaliser, de recommander l’une des 1 700 stations et de partager ainsi la découverte de nouveaux lieux à Vélib’. Les usagers accumulent des « badges » sur Foursquare et deviennent « mayors » des endroits, en l’occurrence des stations Vélib’, qu’ils ont le plus recommandés auprès de la communauté. Quinze « mayors » découvriront leur station baptisée à leur nom pendant 24h. Vélib’ leur offrira exceptionnellement le prolongement d’un an de leur abonnement. Photos et vidéos de l’opération seront postées sur les pages Facebook et Twitter de Vélib’ avec le hashtag #6ansVelib.

Après six années d’existence, Vélib’ continue de s’imposer comme un moyen de transport à part entière, symbole d’un art de vivre à la Parisienne. Plus de 250 000 Franciliens sont actuellement abonnés à l’année. Des pics d’utilisation à plus de 140 000 trajets par jour sont régulièrement enregistrés. Le blog Vélib’ & Moi, magazine en ligne de la communauté bat, lui aussi, des records historiques avec une hausse de fréquentation de plus de 60 % par rapport à 2012. Fort de ce succès, un guide « Paris à Vélib’ » est disponible dans toute la France aux Editions du Chêne.


 

Pour en savoir plus : http://www.affiches-parisiennes.com/15-stations-velib-habillees-aux-noms-d-accrocs-2482.html#ixzz2Z7T01dpR
Pour suivre Les Affiches Parisiennes : @Annonce_Legales sur Twitter | AffichesParisiennes sur Facebook

Ads on smartphones growing, but marketers still learning mobile medium – chicagotribune.com

Ads on smartphones growing, but marketers still learning mobile medium – chicagotribune.com.

 

Ads on smartphones are so small that an irritating problem has emerged: “fat finger” syndrome. The ailment is caused by accidentally clicking on a banner ad as your finger scrolls through a mobile website or app.

Google, a big seller of mobile ads, has come up with a makeshift cure: If your finger merely slides on the outer border of an ad, the search giant will prompt you to verify whether you meant to click on it.

The blip says a lot about the state of mobile advertising. Advertisers are spending more money on mobile marketing, but the tracking and measurement tools are still immature. Smaller screens also are challenging marketers to come up with creative and innovative ways to reach consumers without annoying them with tiny banner ads.

So far, the powerful promise of mobile, offering the opportunity to pop relevant deals onscreen at the moment consumers are in the time and place to spend, has gone largely unrealized. Technology companies like Google Inc., marketers and advertising firms have tested advances such as geolocation, but adoption has been limited.

“Mobile advertising is in a really weird place right now,” said Melissa Parrish, a senior analyst at Forrester Research, the technology research firm. “Is it online paid advertising made little? That’s the way it’s largely been approached. But in 2013, I hope (advertisers) start to move beyond that thinking. Mobile is special.”

The highest concentration of smartphone users is the 25 to 34 age group, one of the most coveted demographics for advertisers. Overall, 45 percent of American adults have a smartphone, according to the Pew Research Center.

The rapid penetration of smartphones — Apple introduced the iPhone just five years ago — has created a new medium that marketers have scrambled to learn. One research firm estimates that in 2012 mobile ad spending will nearly triple what was spent last year, topping $4 billion. Despite the explosive growth, businesses are devoting a relatively small piece of their total advertising dollars to mobile ads — 2.4 percent this year, according to eMarketer, which tracks display, search and messaged-based ads.

But eMarketer predicts mobile will grow 77 percent next year and reach an 11 percent share of total U.S. ad spending by 2016, overtaking radio and newspapers and making up more than one-third of all digital advertising.

“Mobile has seemingly always been in test mode,” said Kurt Unkel, president of the VivaKi Nerve Center, a research and development arm within the Publicis Groupe, a French advertising firm. “But there does seem to be momentum based on volume and key companies focused on mobile.”

Those companies include the tech giants familiar to everyone: Google and Facebook. A lot of the growth this year in mobile advertising has been fueled by Facebook, which reported $152 million in mobile ad revenues in the third quarter after starting from scratch this year. It generated 14 percent of its total advertising revenue from mobile.

Facebook is just beginning to tap the potential in mobile. The social network says 60 percent of its active users log in on phones.

Growth in mobile ads

( Tribune, Tribune / December 24, 2012 )

 

Google, parent of Motorola Mobility, is the largest player in mobile ads because of its dominance in the $2 billion mobile search market. The company says it’s on track to generate $8 billion a year from mobile ads and apps and media sold through its Google Play store.

A big challenge for publishers and other ad sellers is that advertisers pay less for ads on mobile devices than for online ads on desktops. There are several reasons. There is more supply of mobile ad space than there are buyers. And it is harder to track whether people make a purchase after they see a mobile ad.

But smartphones offer marketers something that desktops don’t: the ability to target users on the go. Advertisers are trying to figure out what consumers want when they are on the train, walking down the street or sitting in a coffee shop — and squeeze it into a small screen.

Deerfield-based Walgreen Co. has used mobile ads to encourage consumers to download its smartphone application for refilling prescriptions and editing and ordering photos. The drugstore chain also is targeting special offers to its mobile customers. On Black Friday, for example, Walgreen plugged in a digital “scratch off” game into its mobile app that provided discounts for Starbucks coffee products.

The goals of the app are to increase customer engagement and drive consumers into stores, said Tim McCauley, senior director of mobile commerce at Walgreen.

The app, while it brings a lot of utility to Walgreen customers, also serves as an ad for the retailer, said Unkel of VivaKi.

“Apps are becoming the brand experience for consumers,” Unkel said. “To me, that’s the most compelling thing in mobile as it relates to advertising.”

Also gaining traction in mobile advertising are targeting consumers by location to take advantage of GPS features on mobile devices. Foursquare, a mobile check-in app, has begun selling ads to merchants to provide loyal customers with coupons or updates about new products. The next big thing in location-based ads is matching place with consumer behavior so people receive relevant coupons or daily deals.

“Mobile is presenting new marketing opportunities that never existed before,” said Greg Stuart, chief executive of the Mobile Marketing Association. “Consumers have changed, and marketers have to catch up.”

 

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SoLoMo 2012 : focus sur 2 campagnes clés ! | stratégie communication cross media et Solomo

SoLoMo 2012 : focus sur 2 campagnes clés ! | stratégie communication cross media et Solomo.

Ce n’est pas une nouveauté, le SoLoMo, que l’on a déjà mentionné lors de notre étude concernant laCommunication Solomo, fait désormais partie intégrante des stratégies mises en place au service du marketing relationnel. Son attractivité résulte d’un savant mélange alliant expériences réelles et  virtuellesPar sa dimension interactive et ses complémentarités sociales, locales et mobiles, il offre un nouveau souffle aux stratégies cross media.

Le SoLoMo alimente le débat, certes, mais comment l’appliquer intelligemment ? Orange et La Redoute, deux pionniers des stratégies digitales rejoignent le mouvement Solomo et nous éclairent sur la question.

  • Orange et Foursquare : le nouveau duo du SOLOMO !

Quoi de plus logique, pour une marque de téléphonie mobile, d’investir dans la communication SoLoMo ? Avec son concours « Faites tomber la couronne », Orange s’invite sur Foursquare et convie le grand public à  remporter un chèque cadeau de 100€ ! Une belle initiative qui démontre l’intérêt d’une stratégie SoLoMo au service de l’événementiel, abordée lors de notre analyse « Du SoLoMo dans votre événement ? ».

En complétant sa stratégie de communication cross media par une présence digitale sur Foursquare, cet été, Orange a repris des couleurs ! Du 11 juin au 7 juillet dernier, l’opérateur s’est lancé dans l’aventure Sociale Locale et Mobile en organisant son premier concours de check-ins. L’opération événementielle « Faites tomber la couronne », annoncée sur les réseaux sociaux  et destinée à une cible hyper connectée, avide de divertissements et de bons plans,  consistait à booster le trafic sur ses points de vente, conquérir de nouveaux clients et fidéliser grâce à la géolocalisation.

L’objectif / la démarche :

– Devenir le « Mayor de la semaine » et remporter un chèque cadeau « Ticket infini » de 100€ en se géolocalisant au sein d’une boutique Orange.

Complémentaires, les 3 dimensions SoLoMo de cette action s’harmonisent comme suit :

– Sociale : la marque Orange se socialise sur Foursquare, et plus généralement, sur les réseaux sociaux (puisque l’opération y est annoncée et relayée).
– Locale : avec cet événement de proximité, Orange propose à tous de partager sa géolocalisation au sein d’une boutique Orange, en temps réel.
 Mobile : Orange se positionne sur Foursquare, un réseau de partage de contenu accessible uniquement depuis son smartphone.

En jouant sur la mobilité via un mécanisme ludique, Orange veille ainsi à faire évoluer sa relation client : chaque participant au concours se transforme en ambassadeur grâce à la fonction de partage des check-ins. Par cette opération SoLoMo Orange bénéficie également d’une image de marque connectée et modernisée, qui promet d’élargir sa cible, encore largement professionnelle.

  • La Redoute Street Shopping : une chasse au trésor « so SOLOMO » !

Après avoir lancé ses 11 boutiques virtuelles présentant sa Collection Automne-Hiver 2012, La Redoute parfait sa stratégie digitale et s’engage sur le chemin du solomo et du social gaming en organisant une chasse au trésor grandeur nature destinée à la gent féminine et autres shopaholics connectés, mobiles et joueurs !

Du 22 juin au 11 juillet dernier, la célèbre marque de vente à distance s’est en effet livrée à la mise en place d’une opération Sociale Locale Mobile nationale baptisée « Street Shopping by La Redoute » : 56 villes concernées et 372 cadeaux à la clé ! Une opération SoLoMo téléguidée par une application iPhone et Androïd créée à cet effet.

But de l’opération :

– Promouvoir la nouvelle collection automne/hiver du site marchand à travers une opération de « street mobile shopping » divertissante.
– Enrichir l’expérience shopping des internautes via le m-commerce

Le principe :

– Découvrir les cachettes virtuelles les plus proches de chez soi  à l’aide de la géolocalisation : à chaque visite d’une nouvelle cachette, des points sont cumulés et augmentent les chances de gain des participants lors du tirage au sort final : 1500 € de bons d’achat la clé !

Cette chasse au trésor « by La Redoute » célèbre le caractère incontournable du mobile, élément central de la campagne et fer de lance du SoLoMo.

Au sein de cette campagne, les 3 dimensions emblématiques du SoLoMo se décomposent comme suit :

– Social : inscription à l’opération depuis Facebook Connect et relai de l’événement depuis l’application Facebook.
– Local : géolocalisation des zones où se situent les cadeaux à gagner.
– Mobile : un parcours guidé grâce à l’application gratuite pour iPhone et  Androïd.

Qu’il s’agisse d’un réseau d’enseignes physiques, d’un retailer ou encore d’un pureplayer, le SoLoMo s’avère être un outil complet et incontournable dans la mise en place de stratégies cross media. Il  permet notamment de :

– Développer sa notoriété par son pouvoir viral
– Personnaliser la relation client grâce à la géolocalisation
– Dynamiser le parcours client en assurant des passerelles online – offline et en jouant sur la digitalisation du point de vente pour renforcer la synergie entre les différents canaux de distribution.
– Conquérir et fidéliser en créant une nouvelle expérience shopping, grâce à des dispositifs plus ludiques les uns que les autres.

Turn Your City Into a Monopoly Board With Foursquare-Based Game

Turn Your City Into a Monopoly Board With Foursquare-Based Game.

August 2, 2012 by 

As of Thursday morning I own the Moscone Center. The Mashable office in San Francisco is also mine, as well as a a pretty popular bar across the street from my apartment. Tonight I have my sights set on picking up AT&T Park.

All these acquisitions are part of a new game called Turf. Think of it as Monopoly set on top of Foursquare. The game allows you to buy up property in your neighborhood, purchase add-ons such as additional floors, and earn virtual rewards in the process.

Funded by a Kickstarter campaign earlier this year, the game is way different than anything you’ve played every before. “Real world Monopoly” is the one-liner that founder Michael Tseng has used to describe the game.

That description covers the basic premise of Turf, but under the surface you’ll find a much more interesting and complex game.

“When we put out Turf we looked at all the things we like about games,” says Tseng. “When people think casual games they think FarmVille, and we’re not FarmVille. When they think mobile games, they think Angry Birds.

Turf isn’t about five to ten minutes of addition and endorphin rush — it’s a much slower game, but I think it’s just as rewarding.”

SEE ALSO: Why Location-Based Gaming is the Next Killer App 

Locations in Turf are populated from Foursquare’s database. Checking in to a location on Turf earns you coins or crystals as well as experience points, and every location in your city is essentially up for grabs for ownership.

“We took the whole concept of mayorship from Foursquare and we added to it,” says Tseng.

Purchases are made not by price and instead by chance. Buying a location involves spinning a virtual slot machine. Each spin costs a certain amount of coins. Stopping on a “Win” square will win you the location from its current owner; stopping on a “Lose” means you’ll have to try again.

The odds of winning a spin and the cost of a spin vary depending on the property in question and what its current owner has done to it.

Properties can be enhanced for instance with additional floors. Each floor makes your property more valuable, earns you more money in rent, and makes it harder for someone to steal it from you. Construction takes time though, adding a new floor to your acquisition will take at least a few hours.

In the beginning a spin on a location just costs 100 coins. If a location is full built out, then that same spin will cost 8000.

“We’ve found that people will sometimes spend half a million coins to get a location,” says Tseng. Coins can be accumulated from checking in at locations, collecting rent from properties you own, and from converting crystals -– which can be randomly found at some locations -– into coins.

Checking in to a location often (the game takes into account your check-ins over the past 20 days) will also increate your chances of snagging a location from another player.

As you play the game you also earn trophies that can be displayed on a virtual shelf and advance levels as a geographer. Trophies can be displayed in any way you choose.

One of the trophies is an arcade box that the company hopes to eventually bring out mini-games for. That would mean you could visit your friend’s trophy shelf and play a game.

“The way we think about it is that Turf is going to be a platform where we intend to release expansions on top,” says Tseng. “We don’t think of it as this one time game, that we’re going to build and release and people are going to play it.

“We think of it more like World of Warcraft — if on day one we told everyone to pick up hammers and wood and start building. Everyone is building the world for us.”

In a few months Tseng aims to release an update — one that expands the game from taking over just single locations into taking over turfs.

The games also won’t just stop at Turf. “Our hope is to create full-fledged game company,” say Tseng.

Turf is available now in the App store.